Après quelques péripéties, il semblerait qu’une destination se dessine pour Cartable & Sac-à-dos. Comme prévu, c’est bien à l’Est. Comme prévu, ça finit bien par « nie ». Mais pas comme prévu, on ne veut pas de moi pour un stage… A ma grande surprise, on m’a proposé un poste de remplaçante de la professeure de français actuelle qui part en congé maternité à partir du mois de février ! Euh, euh… il faut que j’y réfléchisse. On a besoin de moi de février à fin juin… Mais j’ai des cours moi ! Et des responsabilités à l’école maternelle ! Oui mais quand même, quoi de plus formateur qu’une expérience de 5 mois, et en poste s’il vous plait? Dans une école Montessori ? Pas besoin de peser le pour et le contre plus longtemps, mon choix est tout vu !
En deux temps et trois (ou quatre) mouvements, mes professeurs se sont mobilisés pour pouvoir aménager mon Master sur une période de 2 ans, afin de me permettre de saisir cette jolie opportunité. Etudiante encore pour un an ? Oh… Trop dure, la vie…! Résultat : je validerai mon premier semestre en janvier 2016, puis le deuxième en juin 2017. Cela me permet donc de partir, et puis de revenir ! Perfecto, no ?
Bon, la Bosnie n’est pas un pays de l’Union Européenne, donc il me faudra un Visa. Bon, sur une période aussi longue il parait impossible de partir en tant qu’étudiante-stagiaire donc il me faudra un contrat de travail. Bon, il me faudra donc souscrire à des assurances en tous genres. Mais ce ne sont que des papiers, pas vrai ? Demain, rendez-vous Skype avec la directrice pour mettre à plat toutes ces questions, et trouver des solutions.
Cartable frétille : une école Montessori ! Son rêve ! Il va enfin pouvoir se remplir le bidou d’expériences, d’observations, de projets, d’analyses de cette pédagogie si intrigante.
Sac-à-dos s’emballe en discutant de Sarajevo avec ses amis globetrotteurs : une ville dynamique et chargée d’histoire, au cœur d’un pays aux airs de carrefour culturel entre Orient et Occident. Le dynamisme d’un pays en reconstruction, l’ébullition d’un peuple blessé, qui veut aujourd’hui crier et se défaire de la muselière qu’on lui a fait porter pendant si longtemps… De quoi émerveiller Sac-à-dos pour un moment !
Youpi ! Tout émoustillé par ce nouveau projet qui se dessine, nous vous tirons notre chapeau. Zbogom !
En deux temps et trois (ou quatre) mouvements, mes professeurs se sont mobilisés pour pouvoir aménager mon Master sur une période de 2 ans, afin de me permettre de saisir cette jolie opportunité. Etudiante encore pour un an ? Oh… Trop dure, la vie…! Résultat : je validerai mon premier semestre en janvier 2016, puis le deuxième en juin 2017. Cela me permet donc de partir, et puis de revenir ! Perfecto, no ?
Bon, la Bosnie n’est pas un pays de l’Union Européenne, donc il me faudra un Visa. Bon, sur une période aussi longue il parait impossible de partir en tant qu’étudiante-stagiaire donc il me faudra un contrat de travail. Bon, il me faudra donc souscrire à des assurances en tous genres. Mais ce ne sont que des papiers, pas vrai ? Demain, rendez-vous Skype avec la directrice pour mettre à plat toutes ces questions, et trouver des solutions.
Cartable frétille : une école Montessori ! Son rêve ! Il va enfin pouvoir se remplir le bidou d’expériences, d’observations, de projets, d’analyses de cette pédagogie si intrigante.
Sac-à-dos s’emballe en discutant de Sarajevo avec ses amis globetrotteurs : une ville dynamique et chargée d’histoire, au cœur d’un pays aux airs de carrefour culturel entre Orient et Occident. Le dynamisme d’un pays en reconstruction, l’ébullition d’un peuple blessé, qui veut aujourd’hui crier et se défaire de la muselière qu’on lui a fait porter pendant si longtemps… De quoi émerveiller Sac-à-dos pour un moment !
Youpi ! Tout émoustillé par ce nouveau projet qui se dessine, nous vous tirons notre chapeau. Zbogom !
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