Et soudain, le printemps.
Du jour au lendemain, la petite aiguille de l’horloge avance d’un pas et la ville change de visage. Les terrasses bourgeonnent, les silhouettes longilignes des arbres se remplument et se parent de robes blanches mouchetant la montagne toujours grise. Elle, a encore un pied dans l’hiver, malgré l’appel du coucou. Dans les rues, un ballet de gens, manteaux à la main, col roulé au cou et sandales aux pieds. Le printemps et ses contrastes. Il me saisit de plein fouet cette année, et m’emporte dans sa vague de fraîcheur et de renouveau. Laissons-nous voguer - c’est si doux, un printemps à Sarajevo.
Du jour au lendemain, la petite aiguille de l’horloge avance d’un pas et la ville change de visage. Les terrasses bourgeonnent, les silhouettes longilignes des arbres se remplument et se parent de robes blanches mouchetant la montagne toujours grise. Elle, a encore un pied dans l’hiver, malgré l’appel du coucou. Dans les rues, un ballet de gens, manteaux à la main, col roulé au cou et sandales aux pieds. Le printemps et ses contrastes. Il me saisit de plein fouet cette année, et m’emporte dans sa vague de fraîcheur et de renouveau. Laissons-nous voguer - c’est si doux, un printemps à Sarajevo.
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