« Ensemble, nous irons. Tes
trente printemps nous y fêterons. Nulle route ne nous y mènera, mais huile, or
et caoutchouc on quêtera. A défaut, singe, crocodile et toucan on rencontrera ».
Voici l’énigme de la carte d’anniversaire
d’Alex pour ses 30 ans… Alors, on sèche ? Bon, je ne laisse pas le suspens
plus longtemps ! J’avais décidé de l’emmener à Iquitos, dans la jungle
péruvienne, juste avant de rentrer en Europe pour Noël. Un peu fatigués de notre
rythme d’Arequipa, nous avons décidé de finir notre séjour péruvien en beauté
dans la troisième et dernière zone géographique du pays, la selva. A l’ouest de
la cordillère des Andes s’étant la forêt amazonienne au Pérou, qui verdit
ensuite la carte sur le territoire du Brésil jusqu’à l’Océan Atlantique. Régions
très peu peuplées (dû à la densité de la végétation), elles représentent une
identité forte de la culture péruvienne aux multiples facettes. J’ai déjà eu la
chance de découvrir cette partie du pays en 2014 lors d’une excursion dans la
partie sud de la selva péruvienne, à Puerto Maldonado. Mais cette fois-ci, c’est
la mystérieuse ville d’Iquitos que nous voulions explorer.
Iquitos est une ville comme il y
en a peu sur Terre. Accessible uniquement par avion ou par bateau le long de l’Amazone,
aucune route ne la relie au reste du pays. Elle a connu son essor au XIXème
siècle grâce à l’or tout d’abord, mais surtout au caoutchouc qui a fait
la fortune de nombreux entrepreneurs (locaux et moins locaux). Résultat, la
ville a connu un développement fulgurant
à cette époque. Depuis, plus de caoutchouc (le pétrole a remplacé la matière
première de nos bottes !) mais la ville continue doucement à prospérer
malgré une pauvreté grandissante.
Nous sommes donc arrivés à
Iquitos. J’avais mené mon enquête parmi les nombreux tours opérateurs qui
proposent des séjours au cœur de l’Amazonie, et le séjour était déjà réservé. Le
départ étant prévu pour le lendemain, nous avons eu quelques heures pour
prendre la température (assez haute !) de la ville. 30°C, une humidité à
me transformer en une Jackson 5 (photo à l’appui), on est bien en Amazonie !
A notre arrivée à Iquitos...
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On a rencontré le père Noel en
tuk-tuk !
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La
maison Eiffel, construire par Gusgus’ lui-même ! |
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La nature reprend ses droits sur
cette vieille bâtisse
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Gentleman jungler, noix de coco à
la main, qui pose sans faire exprès J
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Depuis la promenade, balcon sur
la rivière, en contrebas nous voyons les quartiers pauvres, construits sur l’eau
grâce à un système de pilotis ou de planchers flottants
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Nous croisons un drôle d’oiseau
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Une vieille embarcation qui
rouille dans les marécages
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Une montagne ? Ah non, ce ne
sont que des nuages ! Iquitos est environ au niveau de la mer. On perd de
la hauteur !
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Marchand de glaces / garage. Improbable
association commerciale!
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Muyuna, nous voilà !
Le lendemain, nous partions à
bord d’un petit bateau à moteur pour un trajet de 3 heures, direction le Lodge
Muyuna.
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Petite barque et gros bateaux bariolés se croisent sur l’Amazone et ses affluents. Ils
desservent les villages qui peuplent les rives. A leurs bords, des personnes et
des marchandises (bananes, poissons, racines type manioc…) |
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Curiosité mutuelle |
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Ici la rencontre des fleuves
Nanay et Amazone se matérialise en un joli camaïeu
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Réunion au village
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Petite pause au poste de téléphone pour annoncer notre arrivée au lodge.
En attendant, ça fait un p'tit ronron? |
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Notre bungalow au lodge
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L’après-midi, nous sommes partis
en barque, pêcher le piranha !
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Et voilà le travail ! Après
leur avoir donné l’équivalent d’un kilo de poulet, on a enfin réussi à en
attraper un ! Pas bien gros, mais avec de bonnes dents !
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Alberto, notre guide, les tue
avec sa machette pour le dîner de ce soir. Un piranha, même petit, a la force d’arracher
un morceau de doigt à celui qui s’aventurerait un peu trop près de sa mâchoire.
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Le village voisin, San Juan. |
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L'école du village. Un professeur d'élémentaire et une professeure de maternelle viennent toutes les semaines d'Iquitos pour enseigner. Ils restent sur place, dans des petites cahutes du lundi au vendredi, et retrouvent la ville le week-end. |
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Les
poules envahissent le terrain de foot, qui est aussi la place centrale du
village de San Juan.
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Le soir, nous avons fait une
balade nocturne dans la forêt autour du lodge. On y a fait de belles rencontres !
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Une tarentule dite "à cul rouge" |
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Une grenouille de la taille d’un
lapin.
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Deuxième jour d’exploration
Au petit matin, voici par quoi
nous avions le plaisir d’être tirés de nos rêves…
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Baignade dans l’Amazone :
elle est bonne mais le courant est assez fort (heureusement qu’on ne
savait pas encore ce qui y nageait, parce que je crois que je ne l’aurais pas
tenté quelques jours plus tard !)
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Un tout petit singe
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Un tout petit potiron
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Les plus
gros nénuphars du monde – Victoria Regia |
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Coucou toi ! Un iguane géant !
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Un dauphin
gris qui pointe le bout de son nez |
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Quand il tombe quelques gouttes, Mary
Poppins sort son parapluie de son petit panier !
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La machette d'Alberto |
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Mode anti-moustique activé !
Mais quels voraces ! Malgré le fait qu’il se soit tout empaqueté dans sa
cape de pluie, ces sales bêtes ont réussi à lui piquer les sourcils !!!
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Le soir venu, nous sommes partis
à la chasse aux crocodiles....
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Cette petite femelle n’a que 2
ans et demi !
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Day 2
Le jour suivant, nous sommes
allés faire un tour dans la forêt, un peu plus loin du lodge, pour tenter de
voir des animaux et des végétaux.
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Il s’agit ici de « l’arbre
étrangleur ».
Ce parasite s’accroche à un tronc, et grandit en l’entourant
jusqu’à l’asphyxier,
à la manière du boa. Sympa !
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Un arbre à caoutchouc. Il a
seulement fallu à Alberto qu’il donne un
petit coup de machette contre le tronc pour que coule ce suc blanc et collant.
En le travaillant avec nos doigts quelques instants, nous avons formé des
petites boulettes de… caoutchouc !
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Un joli papillon (mais mort)
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Des petits pêcheurs du village de
San Juan
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Saurez-vous repérer le paresseux ?
Ce drôle d’animal à petite tête et longues griffes dort la tête en bas,
accroché à une branche par une patte.
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Il descend... |
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...doucement... |
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... tout doucement, mais tant mieux pour les photos! |
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Un champi' tout rouge |
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Hello you! |
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Un bourrelet d'arbre |
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Salut vous! |
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Oh mais vraiment, je les perds
partout ces bouclettes ! J
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Des racines |
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Des coups de pinceau |
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Alberto qui nous montre un arbre
appelé « una de gato »
(griffe de chat) qui puise l’eau de la terre. On
peut boire à son tronc !
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Alberto
qui, à notre demande, nous cherche des vers comestibles dans le fruit d’un
palmier… |
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... et BINGO ! |
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Miam ! |
Après 3 jours de rêve au cœur de
la jungle, au creux de la nature la plus folle, il est malheureusement temps de
rentrer. Retour en bateau jusqu’à Iquitos pour une dernière soirée dans la
jungle.
Un bateau parti le matin même aux
aurores, m’a dit l’un des passagers. Ils viennent charger de denrées qu’ils
vendront au marché de Belen, dans le quartier populaire d’Iquitos que nous
allons découvrir le lendemain.
Soirée à Iquitos
On y a trouvé...
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Des milk-shakes qui donnent la pêche |
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... et le barreau ! |
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La mère Noël et sa lutine,
certainement partis à la
recherche de leur Père Noël en tuktuk !
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Belen, le marché et le
quartier flottant
Pour terminer notre séjour, avant
de sauter dans l’avion direction Lima pour notre dernière escale, nous sommes
allés explorer une autre faune et flore… le quartier de Belen. Ultra populaire,
un poil craignos, Belen, ça envoie !
D’abord, nous avons erré dans le
marché.
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Promo sur les piranhas! |
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Et sur les bananes !
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Majas : que nous avons
dégusté la veille cuits au grill, sans savoir à quoi correspondait cet animal.
Il s’agit d’un rongeur de la taille d’un petit chien, vivant dans la jungle !
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Tabac! |
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Cigarette
faite maison ! Bon courage !!! |
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"Blame it on the boogie..." |
Belen bas.
Le marché se trouve
sur les hauteurs, au même niveau que la ville. En descendant quelques marches,
on se retrouve dans la partie basse, sensiblement plus hostile aux gringos que
nous sommes. Heureusement, nous rencontrons fortuitement un petit guide dans l’escalier
qui nous propose de nous accompagner. Un peu réticente au début, j’étais bien
contente d’être avec une personne du quartier quand nous sommes passés devant
des hommes, murmurant des choses à notre sujet, aux regards drogués et aux
mains parfois baladeuses parait-il…
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Cette
partie du quartier est totalement inondée lors de la saison des pluies, le
niveau de la rivière augmentant beaucoup. Ainsi, les tuktuk laissent place aux
barques, et les maisons à deux étages se transforment en demeures de plain pied ! |
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Tortue prête à être dégustée
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Tiens, ça nous rappelle quelque
chose !
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Une partie de Belen est construite
carrément sur l’eau, peu importe l’époque de l’année. Nous nous y sommes
baladés en barque.
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Maison sur plancher flottant
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Pompe à essence
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Lessive, évacuation directe dans
le fleuve (comme pour tous les déchets)
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Toilettes séparées, s'il vous plait ! |
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L'école |
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L'église |
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Notre apéritif ! Brochette
de vers au barbecue. Hé bien, aussi fou que cela puisse paraitre, c’est
meilleur cru que cuit ces petites bêtes-là – la tête qui croustille, c’est
vraiment pas terrible à avaler !
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Pharmacie |
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Nous avons décidé d’accompagner
les vers d’une bonne pièce du boucher… de l’iguane !
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Ca n’a pas l’air terrible comme
ça, mais c’était délicieux ! Une chair très blanche, un poil élastique
mais au goût très fin.
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Les pieds dans les poubelles, on
n’a pas mis longtemps à avaler notre pitance. Une bonne expérience pour
conclure notre séjour dans la jungle.
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On mangerait même la peau, hein
Alex ? Tu veux te faire un slip en peau de croco ?
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Mais voilà… à faire le malin, on
tombe dans le ravin (c’est bien connu). J’avoue avoir fait la petite joueuse,
et je n’ai pas vraiment respecté le moit’ moit’ de lézard, n’en mangeant qu’une
petite partie. Alex s’est chargé de dévorer le reste, comme à son habitude.
Mais son estomac, lui, a bien senti que ce n’était pas comme d’habitude !!
Résultat en image…
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!! Diète au Coca pendant deux
jours !!
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Quelle(s) expérience(s) !
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